Les étudiants de troisième année de BBA doivent participer à une année d'échange universitaire à l'international.
Heureux qui comme un étudiant de BBA International fait un beau voyage…
Pas simple l’expatriation au temps de la Covid, quand l’impression dominante est que tout est gelé… Et pourtant, les étudiants de BBA ont pu partir et ne le regrettent pas ! Chance, faculté d’adaptation ou débrouillardise ? Sûrement un peu des trois mais quoi qu’il en soit, démonstration est faite que ouf, la vie continue !
Une année d’échange universitaire à l’international est obligatoire en troisième année de BBA, avec un panel de destinations attractives et la possibilité d’obtenir 17 doubles-diplômes internationaux.
Une préparation sur trois ans
Dès la première année, les étudiants sont sensibilisés sur les aspects les plus généraux de l’expatriation à travers des ateliers, et sont mis au fait des prérequis, notamment un niveau minimum B2 dans la langue d’études choisie en troisième année, anglais, allemand ou espagnol, attesté par un certificat officiel type TOEFL ou IELTS, etc. si l’université partenaire l’exige.
En deuxième année leur sont présentés les partenaires universitaires.
Les étudiants sont invités à compulser les fiches pays à leur disposition, genre de mémento concernant les études, les matières, les campus, la vie quotidienne, le budget… Ils bénéficient de nouveau d’un atelier par mois en demi-groupe puis de rendez-vous individuels à partir de décembre pour affiner leurs choix. Dès mi-février, ils doivent formuler sept vœux de pays. Une commission d’affectation satisfait aux demandes selon le niveau linguistique et la moyenne.
La troisième année est l’année du départ et se partage entre études et stage.
Malgré le contexte, en 2021, 100 étudiants sont partis, dont 5 % en dehors de l’Europe. Sept d’entre eux sont en parcours anticipé dès la deuxième année en Allemagne.
Autres destinations prisées cette année : la Croatie et l’Espagne (non, les étudiants ne savaient pas au moment des choix que les bars y seraient ouverts…). Pour ce qui est des contraintes sanitaires, RAS à part un test PCR pour l’Allemagne et un protocole minuté et exemplaire en Corée du Sud.
Un accompagnement académique et administratif
Accompagnés avec attention tant au niveau académique qu’administratif par l’équipe du BBA d’Excelia Business School, pour laquelle avoir réussi à faire partir toute la promo est une belle victoire, les étudiants font preuve d’une capacité à être acteurs de leur projet que soulignent Catherine Rivolo, coordinatrice pédagogique, et Luminita Georgescu, responsable internationale et référente BBA.
Les cours ont été suivis avec assiduité et les ECTS validés ! Et côté vécu, le mieux est de laisser la parole aux principaux concernés :
Clémentine Grolleau est en Allemagne, accueillie par le partenaire historique d’Excelia, l’Université franco-allemande (UFA), à la OTH Regensburg. L’étudiante en BBA 2ème année voulait partir de France, motivée par l’envie d’apprendre l’allemand comme 4ème langue et par la perspective de la double-diplomation – l’UFA délivrant de surcroît un certificat d’excellence :
Clémentine Grolleau
Florian Robin a choisi quant à lui de partir en Corée du Sud, à l’Université nationale de Chonnam située à Gwangju, car il souhaitait un dépaysement complet.
Cette expatriation en Corée me permet de voir un monde complètement différent, que ce soit la culture, les habitudes ou même l’architecture. Je cherchais une expatriation mémorable et je pense l’avoir bien trouvée.
Florian Robin
Particulièrement bien accueilli dès l’arrivée par la coordinatrice de l’université, très à l’écoute, ainsi que par un Alumni sur place et un Buddy (étudiant coréen volontaire) attitré pour découvrir le campus et ses alentours, Florian a récemment vécu une expérience hors du commun avec deux autres étudiants de BBA :
Florian Robin
Découvrez un aperçu de cette émission :