L’expatriation est incontestablement un atout pour les enfants : apprentissage d’une ou plusieurs langues, immersion dans une autre culture, ouverture au monde, capacité à s’adapter.
Pourquoi étudier en France ?
La question se pose pour ces profils étudiants hors normes, produits de l’expatriation. Passés par de nombreux pays, ils maîtrisent souvent plusieurs langues et sont à l’aise dans les ambiances cosmopolites. Ces citoyens du monde ont acquis un bagage linguistique utile mais surtout des « soft skills » particulièrement recherchées à l’heure actuelle. Ils savent s’adapter à des situations diverses et font preuve d’étonnantes capacités à saisir les cultures des autres.
Ces jeunes français pourraient sans doute opter pour continuer leurs études supérieures dans d’autres pays. Ils maîtrisent en général l’anglais ce qui leur ouvre les portes des universités anglo-saxonnes. Quelles sont donc les raisons de revenir en France ?
Certains ont eu la chance de suivre une scolarité normale au sein d’un établissement français à l’étranger. Ils ont ainsi les mêmes bases que n’importe quel élève français resté en métropole. Dans ce cas de figure, il est assez logique de continuer dans le supérieur en France.
D’autres ont toutefois connu un parcours scolaire plus divers, dans des écoles internationales ou parfois même dans le système scolaire du pays d’accueil. Les programmes et les méthodes de travail y sont très éloignés de ce qui se pratique en France.
L’idée d’approfondir l’apprentissage du français et d’intégrer le système universitaire français est séduisante.
Ces jeunes caméléons ont parfois besoin, tout simplement, de se reconnecter avec leur pays d’origine. C’est seulement à l’occasion d’un retour en France qu’ils comprennent leur biculturalisme. Même dans les familles les plus soucieuses de garder un lien culturel et linguistique avec la France, il est parfois difficile de faire comprendre pourquoi lire Jules Verne ou apprendre les Fables de Lafontaine constituent un bagage culturel irremplaçable. Seul un tiers, à l’école ou à l’université, rend compréhensible ces obsessions parentales. A l’école, les codes culturels partagés font sens et l’étudiant expatrié se reconnecte avec ce qui fait son identité française.
D’un point de vue plus pragmatique, la France offre des études supérieures de bon niveau et à un prix plus accessible que dans d’autres pays. La France est d’ailleurs le 5ème pays le plus attractif pour les étudiants étrangers. Au-delà d’un réseau d’universités publiques consolidées sur tout le territoire, la France a, depuis de nombreuses années, développé des filières de grandes écoles (privées ou publiques) reconnues internationalement.
Dans ce foisonnement d’écoles et de filières, il peut être compliqué de s’y retrouver. En outre revenir en France ne signifie pas abandonner cette ouverture à l’international si prégnante chez les étudiants formés à l’étranger.
Innovation, dimension internationale et humaine au cœur des formations
Très attaché à son terroir de la façade atlantique à La Rochelle, le groupe Excelia n’a pourtant pas hésité à installer des campus à Tours (2019) et à Orléans (2020) et poursuit son expansion vers d’autres régions en s’associant à de grandes écoles. Excelia a diversifié son offre de formation autour de cinq écoles multidisciplinaires qui proposent chacune des formations de niveaux Bac à Bac +5. Excelia propose aussi des formations à distance ou en alternance, des spécialisations qui s’inscrivent dans des secteurs professionnels porteurs comme les domaines de la santé, de la communication digitale ou de la gestion des services immobiliers.
Les formations combinent des enseignements académiques et l’expérimentation sur le terrain afin que les étudiants acquièrent une véritable connaissance de soi et puissent se projeter dans leur avenir professionnel.
En quoi Excelia est-elle attractive pour les profils en provenance de l’étranger ? L’ouverture sur l’international est un axe cher à l’Ecole. De nombreux étudiants étrangers se pressent sur les campus, les professeurs internationaux y sont nombreux et les stages et échanges universitaires à l’étranger sont largement favorisés. Les profils hybrides de jeunes expatriés pourront baigner dans la culture française tout en continuant à acquérir une éducation tournée vers l’extérieur.
Autre atout, Excelia propose un Bachelor First Year sur les campus de La Rochelle ou sur le site de Paris, dédié aux indécis. Pendant une année ou un semestre, les étudiants découvrent et explorent les différentes formations afin de découvrir leur voie.
Se donner une année pour choisir de rester ou pas étudier en France ?
Voilà peut-être le pari gagnant des jeunes expatriés.
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